Call of Cthulhu : Dark cornes of the earth
Publié : 10 mai 2006, 20:31
Voilà donc le jeu bien adapté du roman de Howard Phillip Lovecraft, déjà sortis:
On pouvait croire au miracle, mais avec comme seul maigre soulagement, une maniabilité un peu plus agréable grâce au duo clavier/souris, cette version PC de Dark Corners of the Earth n'arrive malheureusement pas à sauver un titre toujours plombé par une jouabilité trop approximative, une réalisation vraiment quelconque et des bugs toujours présents. L'atmosphère de Lovecraft est bel et bien là, fidèlement sombre et oppressante, mais hélas, Dark Corners of the Earth ne propose pas grand-chose pour la porter plus loin. Après une première partie réussie mettant en scène une enquête chargée de mystères et une deuxième misant plutôt sur la furtivité du héros, le gameplay finit par déraper définitivement en transformant le titre en un FPS poussif, buggé et rageant. Un point de non-retour malheureusement inexcusable qui pourrit peu à peu le jeu et notre envie de nous enfoncer plus loin dans ses méandres lugubres et schizophrènes. Bref, à moins d'être un fan armé de patience, on réfléchira à deux fois avant de s'aventurer du côté d'Innsmouth.
On pouvait croire au miracle, mais avec comme seul maigre soulagement, une maniabilité un peu plus agréable grâce au duo clavier/souris, cette version PC de Dark Corners of the Earth n'arrive malheureusement pas à sauver un titre toujours plombé par une jouabilité trop approximative, une réalisation vraiment quelconque et des bugs toujours présents. L'atmosphère de Lovecraft est bel et bien là, fidèlement sombre et oppressante, mais hélas, Dark Corners of the Earth ne propose pas grand-chose pour la porter plus loin. Après une première partie réussie mettant en scène une enquête chargée de mystères et une deuxième misant plutôt sur la furtivité du héros, le gameplay finit par déraper définitivement en transformant le titre en un FPS poussif, buggé et rageant. Un point de non-retour malheureusement inexcusable qui pourrit peu à peu le jeu et notre envie de nous enfoncer plus loin dans ses méandres lugubres et schizophrènes. Bref, à moins d'être un fan armé de patience, on réfléchira à deux fois avant de s'aventurer du côté d'Innsmouth.