Encore une fois, guilty boy va sauver la situation !
Dino crisis 1.
Quatre agents secrets du gouvernements Americain sont envoyés dans un pays étranger avec pour mission de capturer puis ramener au pays le docteur Kirk, savant Américain présumé mort dans l'explosion de son laboratoire survenue quelques années auparavant. Sauf que Kirk semble bel et bien vivant et qu'il travaille maintenant pour le compte d'une puissance étrangère sur un projet tout simplement révolutionaire : la mise au poin du premier réacteur experimental de Tri-énergie, une énergie 100 % propre (contrairement à l'énergie nucléaire) et infiniment plus puissante que tout ce qui à été crée jusque à alors.
Il se trouve malheureusement qu'a la première utilisation du réacteur experimental, la puissance colosale de la Tri-énergie a généré une distortion temporelle, ramenant à notre époque des tas de dinosaures sanguinaires qui ont infésté l'ile ou se trouve le centre de recherche juste avant l'arrivée de nos héros...
Contrairement au survival horrors classiques de capcom, dino crisis est réalisé en 3D temps réelle. Le résultat n'est pas horrible mais... un peu décevant. Ce jeu propose aussi un système de scénario alternatif (vos choix modifient la route à prendre ainsi que le scénario du jeu) qui fut une ébauche de celui utilisé par la suite pour RE 3 : némésis.
Un jeu original qui, sans révolutioner le genre, y aporte une touche agréable de fraicheur.
Dino crisis 2.
A mon avis le meilleur dino crisis sorti à ce jour. L'histoire prend place quelques années après le premier épisode. Le gouvernement Américain à récupéré (grace à vos péripéties dans le premier épisode) l'intégralité des notes du docteur Kirk quand à ses recherches sur la Tri-énergie. Et que décident de faire ces petits malins ? Ils construisent un centre de Tri-énergie flambant neuf sur une petite ile au large des Etats-unis, poursuivent les recherches du docteur Kirk et... créent une immense breche spatio-temporelle qui propulse la petite ile d'Edward city soixante cinq millions d'années en arrière. Vous revoilà donc à la tête d'un commando de mercenaires sur équipés, partis à travers la faille temporelle avec un ordre de mission très simple : sauver tout ce qui peut l'être et tenter de ramener L'ile d'Edward au vingtième siècle.
Cet épisode se caractérise par un nouveau système de jeu basé sur le nombre d'ennemis tués. Plusieurs adversaires tués d'affilée raportent des "crédits" qui permettent d'acheter des armes et des munitions dans des "centrales d'achat", petites bornes servant aussi de coffre et de points de sauvegarde. Les graphismes, usant maintenant de décors précalculés, ofrent des environements d'une beauté rarement égalée à ce jour. Une vingtaine d'éspèces de dinosaures/reptiles volants et marins/plantes (des plantes carnivores préhistoriques !) sont au rendez-vous, offrant un défouloir mémorable pour tout bon joueur qui se réspecte. Un véritable must du jeu action-aventure. Et bien oui, ce n'est plus tout à fait un survival horror... mais qui donc ira s'en plaindre !? ^^
Dino crisis 3.
Attention les amis, si vous aimez les bons jeux avec une histoire qui tient la route, des personnages fouillés et des graphismes ahurisants... alors passez votre chemin : dino crisis 3 est tout, mais alors tout ce que vous voudrez sauf un bon jeu.
Je pourrais faire tout un article sur l'histoire de ce que je nommerais "le plus gros ratage du siècle" mais je n'en ai ni le temps ni les moyens. Tout ce que je peux dire c'est qu'a peu près un an avant la sortie de ce jeu, les rumeurs allaient bon train. Un petit trailer de quelques secondes ou apparaissait, entre autres, un artwork montrant une ville moderne envahie par des hordes de dinosaures affamés ainsi qu'une végétation des plus luxuriantes envahissant rapidement la facade des grattes-ciel, avait été présentée par Sinji Mikami lors du salon de L'E3 (à moins que ce ne fût le tokyo game show, je ne sais plus trop depuis le temps). On nous prométait alors de la 3D temps réel, des environements urbains et des dinosaures toujours plus imprésionants de réalisme, le tout dans un contexte purement "survival"...
Un an après, le drame : le jeu sort et j'aprends en passant que c'est le monstre qui a maintenant sacagé mon RE 4 (je ne me souviens plus du nom de ce pauvre c.% et je n'ai aucune envie de m'en souvenir) qui est en charge de sa réalisation.
Le scénario : dans un futur vachement lointain, une bande de sauveteurs arrivent à accoster "Ozymandius", une station spatiale gigantesque ayant disparue il y a des années de cela dans des circonstances inconnues. Une fois à bord (leur navette de secours a été détruite par les défences du vaisseau fantôme), les héros se rendent compte que le vaisseau est envahi par des organismes extra-terrestres ultra-vindicatifs (que je qualifierais de savant mélange antre les monstres de Alien et des dinosaures écorchés et emputés de certains membres).
Premier (et seul) constat à faire : pas de Tri-énergie, pas de dinosaures, et donc... pas de dino crisis. La série ne ressemble plus à elle même, les fans crient au scandale.
Ca ne vous rapelle rien ? Mais si, c'est exactement le même cas qu'avec Resident evil 4 : plus de virus, plus de zombies, plus de RE. Capcom à fait deux gros naufrages en sabordant ses meilleures series (même si le second sabordage est, à tort, un grand succès comercial). Et tout ça à cause de l'autre imbécile dont je ne me souviens toujours pas le nom...
Pour moi, c'est l"homme à abbatre au sein de Capcom.
Voilà la chronologie des Dino crisis, ne tenant pas compte de "Dino Stalker" qui n'est rien d'autre qu'un "shoot them up" sans saveur.